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Bulle de Savon à la Pêche

24 août 2005

ajout d'un boulot de vacances

Bon une nouvelle expérience professionnelle, dans une usine de nettoyage et cette usine croyez moi a de tres tres gros contrat notemment, souvenez vous du monde féerique et bien l'usine lave tous les costumes de ctte entreprise d'esclavage. et malheureusemant ca me rapel de tres mauvais souvenir en plus d'avoir était traité comme un chien mmais en plus ca me rappel que je n'ai toujours pas était payé.

Bref mais moi je ne bossse pas sur ce contrat je bosse pour une compagnie aérienne je ne vous dit pas le nom mais dedas il y a Air et un peut plus loin il y a france. on lave les serviettes. non se ne sont pas des serviettes mais des couvertures, trop genial croyez moi ca fait tres mal au bras de mettre 4000 couvertures dans une machine pour  qu'elles soient pliées en faisant les memes gestes a chaque fois serieux ca vouys muscle.

il y a un autre truc super super sympa avec ce boulot c'est que les laveurs entasssent les serviettes dans la machine sans faire attention et donc ce qui font l'engagement mettre les serviettes ( couvertures) dans la la machine a plié les depliees. et la on fait de tres grande découverte. et oui on a un avantage de savoir combien de personne on le mal de l'air et oui. e problème c'est quer pour le savoir on est obligés de mettre nos mains dans le vomis genial non?! je suis sure que vous enviez ma place.

bref sur ce je vous laisse 

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18 août 2005

petit test marrant

si vous vous etes interesser de plus ou moins pres aux contes ce test va vous ensorceler:

ETES VOUS SORCIER ENCHANTEUR OU FEE?

pour le savoir, répondez aux questions suivantes en choisissant à chaque fois la proposition qui correspond le mieux à votre caractère. Comptez ensuite le nombre de * obtenus, puis rendez- vous un peu plu bas au niveau des solutions afin de connaître le verdict...

  1. en quoi changeriez- vous votre meilleur ami si vous aviez à opérer une telle métamorphose?
  • en singe ****
  • en âne ***
  • en ordinateur **
  • en libellule *

   2.  quel est votre plat préféré?

  • le vol- au- vent **
  • l'étoile de mer *
  • le steak tartare ****
  • le poisson cru ***

   3.   donneriez- vous à quelqu'un le pouvoir de ...

  • faire pleuvoir ****
  • passer entre les murs **
  • devenir invisible ***
  • voler dans les airs *

   4.  aimeriez- vous vivre dans :

  • une caravane ***
  • un chateau *
  • une grotte ****
  • une tente *

   5.  choisiriez- vous comme objet magique :

  • une contrebasse **
  • un chaudron ****
  • un râteau ***
  • un violon *

   6.  votre loisir préféré est :

  • le patin à roulettes **
  • la spéléologie ****
  • le deltaplane *
  • la chasse ***

   7. vous aimeriez- vous déplacer :

  • en mongolfière *
  • en métro ****
  • en sous marin ***
  • à moto **

   8. le vendredi soir, vous aimez:

  • aller dans la forêt ****
  • danser *
  • regarder la télévision **
  • vous réunir avec vos amis ***

  9. vous aimeriez partir en voyage:

  • sur la lune *
  • sur le mont blanc**
  • en forêt- noire ***
  • au centre de la terre ****

   10. vous aimeriez recevoir en cadeau :

  • une ceinture de soie *
  • un collier de dents de tigre ****
  • une casserole ***
  • une couronne**

  11. votre animal favori est :

  • labiche *
  • la gazelle **
  • le porc et pic ***
  • la chouette ****

  12. votre livre préféré est :

  • "cendrillon" *
  • "Alice au pays des merveilles" **
  • "  un bon petit diable" ***
  • "le fantôme de Canterville" ***

  13. votre fleur préférée est :

  • la marguerite **
  • la rose **
  • le chardon ****
  • la lys *

  14. votre couleur préférée est :

  • le blanc **
  • le bleu *
  • le rouge le noir***
  • le noir ****

  15. que préférez- vous boire ?

  • de la limonade **
  • de l'hydromel *
  • du jus de betterave ***
  • de l'huile de foie de morue ****

16. votre fruit préféré est :

  • la noix ****
  • le citron ***
  • le fruit de la passion *
  • la fraise **

  17. a quelle époque auriez- vous aimé vivre ?

  • sous louis XIV *
  • pendant la préhistoire ***
  • au XXI ème siècle **
  • au moyen - age ****

  18. votre héros préféré est :

  • zorro ***
  • tintin **
  • panoramix ****
  • superman *

  19. vous aimeriez vous transformer en :

  • oiseau *
  • moustique ****
  • abeille **
  • lézard ***

  20. si vous étiez marchand, vous aimeriez vendre :

  • des poux ****
  • des fils de toile d'araignée *
  • des vers de terre ***
  • des coccinelles **

maintenant les résultats:

  1. si vous avez entre  61 et 80 * : vous êtes un sorcier( une sorcière) confirmé(e). Vous adorez les feux, les vieillles maisons, les châteaux mystérieux. L' air pur blesse vos poumons et vous rêvez d'une recette magique pour dominer tous ces crapauds baveux qui vous entourent... Que votre entourage se méfie!
  2. si vous avez entre 41 et 60 * : vous hésitez entre la profession d' enchanteur, de fée et celle de sorcier. Il vous est souvent difficile de savoir si vous voulez du bien ou du mal à telle ou telle personne de votre entourage. Tout cela vous cause bien des désagréments et les autres ne savent jamais comment vous allez réagir. Choisissez une bonne fois!
  3. si vous avez entre 20 et 40 * : décidément, vous êtes une charmante personne. Tous vous recherchent, certains disent même que vous êtes un peu trop naïf, voire niais...Mais ne les écoutez pas et continuez à rêver que, d'un coup de baguette magique, vous allez rendre l'univers bon et vertueux. Nous vous souhaitons tout le courage et la persévérance nécessaires!

18 août 2005

recoucou

bon je vais metre a disposition un truc trop fort certain de vous connaisse peut etre et je l'espere. c'est grace a mon frere que j'ai decouvert ce truc débile. et j'en suis contente.

bon je suis desolé mais la ca marche pas, je vous l'enverrez plus tard je vais quand meme vous dire ce que c'etait :tantan le donjon de naheulbeuk. it's very funny

18 août 2005

pour l'auteur du commentaire tres desagréable

en espérant que tu reviennes sur mon blog et que tu lises cette reponse à ton message. je sais ecrire le français ainsi que le parler correctement. donc je serais prof de français. Que ça te plaise ou non!

voila j'ai reglé mes comptes maintenant je me sens légère ça fait du bien d'etre honnete. et je l' ai deja ecrit je ne fait jamais atention à ce que j'ecris et comment je l'ecris quand je suis sur un clavier voila . sur ce je vous embrasse tous

17 août 2005

coucou marc

alors si tu viens voir mon blog tu verras mon message.

donc deja merci d'etre venu voir mon blog.

et pis un petit coucou comme ca. voila

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14 août 2005

un lien sur les critiques de Brecht qui vous expliquera peut etre mieux que moi

HTTP://nicolasborzy.selfhosting.net/bertoltbrecht.html

vous allez voir vous allez vous régaler.

lol

14 août 2005

je vais parler théâtre

Alors on va parler de Brecht. Bertolt Brecht, qui est auteur et metteur en scène incontournable dans l'histoire du théâtre. pourquoi? il a tout simplement rénové le théâtre du 20ème siècle grace a son principe de distanciation.En outre bertolt brecht est un avant gardiste de premier ordre qui a laissé trace dans le théâtre a jamais. Ala fois par ses idées politiques pendant la seconde guerre mondial ainsi que la première. au niveau de son appartenance politique je peux vous dire qu'il n'était pas du tout capitaliste et donc qu'il affectionné tout particulièrement les idée de karl Marx. et oui?Dans son théâtre, ses poèmes, ses réflexions, Brecht, comme le soulignait Walter Benjamin, a voulu conduire les hommes « à s’étonner des conditions dans lesquelles ils fonctionnent » et il a vérifié le précepte de Kafka selon lequel une authentique parole d’écrivain doit être « un piolet pour briser la mer gelée qui est en nous ». L’agilité dialectique, l’irrespect sans restriction et les pouvoirs de l’humour n’étaient pas les moindres de ses forces. Le jeu brechtien n’est nullement une façon de réduire les abîmes humains — ou les contradictions —mais une façon de les ouvrir sans réserve. Le but n’est pas leur clarification et leur élimination, mais leur agrandissement jusqu’à l’insupportable, pour mettre en question la manière qu’on a de les supporter.
Force est de constater que, même sous les feux croisés de la polémique, l’œuvre de Brecht demeure, vive et féconde, et qu’elle ne cesse d’appeler des lectures nouvelles, décapantes, incisives.

  Je vécus parmi les hommes au temps
de la révolte. Et je m’insurgeai avec eux »

« Dialectiser, c’est extraire la
dimension politique de toute chose. »

Bertolt Brecht

En 1957, Europe publiait un volume en hommage à Bertolt Brecht, disparu l’année précédente. Sur la couverture, très emblématiquement, Hélène Weigel, incarnant La Mère, brandissait avec conviction un étendard rouge. Incontestablement, cette publication, qui fut par la suite rééditée, fit date. En ouverture, Pierre Abraham, alors directeur de la revue, insistait sur la puissance créatrice et révolutionnaire du projet brechtien. Il s’agissait donc, pour lui, d’indiquer en quel sens, Brecht, « contempteur de la société » et « ironiste acerbe du désespoir », s’était attaché, théâtralement et politiquement, à « préparer l’avenir ». Étaient ainsi rassemblés des témoignages (ceux, entre autres, de Johannes Becher, de Lion Feuchtwanger, de Georg Lukacs, de Jorge Amado et de Vladimir Pozner), de brèves études (telles celles de Paul Rilla sur le théâtre épique, de Arturo Lazzari sur le succès de L’Opéra de Quat’Sous, de Michel Zeraffa sur les rapports de Shakespeare et de Brecht à l’Histoire, de Lotte Eisner sur la position brechtienne face à l’industrie cinématographique), des commentaires philosophiques de Walter Benjamin et de Ernst Bloch, et, enfin, deux longs articles signés par deux jeunes germanistes français, Gilbert Badia (qui évoquait la vision du monde et le parcours artistique de Brecht jusqu’à son exil en 1933) et André Gisselbrecht (qui, didactiquement, introduisait le lecteur au cœur des articulations essentielles de l’œuvre du dramaturge allemand, considéré comme le « plus grand dialecticien de la scène »). Des poèmes, La Décision (pièce introduite par une interview de l’auteur où celui-ci attribue à la catégorie du Lehrstück — ou « pièce didactique » — une importance capitale), des extraits d’interventions théoriques (sur l’écriture de la vérité...) et politiques (l’Appel au Parlement de Bonn...), inédits en langue française, complétaient cette approche à plusieurs voix. En prenant en considération distanciée et critique les partis pris affirmés de ces textes, en les replaçant dans le contexte de l’époque, ce numéro spécial de 250 pages mérite, bien évidemment, aujourd’hui encore, d’être lu. Rappelons tout de même que, si Brecht fut introduit en France en 1930 (date où Gaston Baty a mis en scène L’Opéra de Quat’Sous) et en 1931 (grâce à l’adaptation cinématographique de cette pièce réalisée par G. W. Pabst, violemment contestée par Brecht), ce n’est réellement qu’au début des années Cinquante que le public français put découvrir cette œuvre majeure du XXe siècle. L’attention et le travail de recherche de quelques précurseurs (Jean-Marie Serreau, Jean Vilar, Jean Dasté, Roger Planchon...), la première tournée du Berliner Ensemble en 1954, l’intérêt porté dès cette date par une publication militante comme Théâtre populaire (avec des contributions de Roland Barthes, de Bernard Dort...), la biographie de Geneviève Serreau et les premières traductions des écrits de Brecht proposées par les éditions L’Arche en 1955, engageaient un processus de réception passionné, suscitant enthousiasmes et polémiques jusque dans les années Soixante-dix. Dans ce cadre, et à sa manière, aux regards de ses engagements, cette livraison d’Europe apportait d’intéressants éclairages. Il serait en conséquence absurde de penser que ce nouvel ensemble cherche, plus de quarante ans plus tard, à se substituer au précédent. Chacun le comprend aisément, les analyses que nous devons aujourd’hui produire à propos de Brecht, sur l’originalité et l’efficacité de son travail théâtral, sur ses liens ambigus avec le socialisme ayant réellement existé, ne peuvent qu’être, inéluctablement, en correspondance avec les transformations (historiques, sociales, culturelles, idéologiques...) imposées par le mouvement ininterrompu et complexe du réel. Certes, le monde continue, comme le disait Brecht, à ne pas aller bien ; mais, après que les lendemains qui devaient chanter se soient avérés tragiquement chimériques, les défis à relever ont changé, les enjeux soulevés par l’intervention brechtienne se sont déplacés. Il en va de même de l’activité théâtrale concrète, de la situation de cette pratique renouvelée, dispersée au sein de la société et confrontée aux attentes auxquelles elle se doit de répondre. Le propos des auteurs ici conviés est délibérément et ambitieusement d’interroger l’actualité de Brecht en cette fin de siècle tourmentée.

Pour donner à cette tâche son sens, il est nécessaire de rappeler quelques faits. Dans les années Quatre-vingt, alors que l’Histoire, selon certains, allait vers sa fin, que le projet émancipateur de la modernité leur semblait achevé / dépassé, que la diabolisation des utopies (par essence totalitaires et meurtrières) était de bon goût, les œuvres de Brecht, et plus encore ses considérations théorico-politiques, n’étaient plus guère prisées, sans doute trop peu en adéquation avec le désengagement frivole et le moralisme inquisiteur de la post-modernité. Brecht pouvait ainsi être archaïsé (y compris jugé complice de la terreur qui avait régné au sein des sociétés-goulags) et présenté comme un « soldat mort », selon l’expression provocatrice utilisée en 1979 par Guy Scarpetta pour dénoncer ce qu’il nommait l’ « imposture » brechtienne. Précisons toutefois que, maintenant en éveil un esprit de vigilance nécessaire, Bernard Dort, en 1986, affirmait avec détermination que « notre Brecht ne peut être que fragmentaire, historique et utopique ». Force est donc de remarquer que cette éclipse ne dura qu’un temps limité. En effet, dans les années Quatre-vingt-dix, donc après la chute du mur de Berlin et la disparition des régimes socialistes dogmatiques, de bureau et de caserne, une nouvelle génération renoua avec l’univers brechtien, du moins avec ses œuvres. Certes, il resterait à déterminer les conditions dans lesquelles cette re-découverte et cet attrait s’expriment (les crises et les fractures des sociétés soumises au libéralisme triomphant expliqueraient-elles, en partie, ce nouveau dialogue ?) et les modalités de cette réception (Brigitte Salino, dans un article paru dans Le Monde du 11 février 1998, considère que cet « œil neuf » privilégie moins l’œuvre d’un « politique que celle d’un humaniste », alors que, pour notre part, nous verrions plutôt chez Brecht une politique de l’humain, aux antipodes de l’humanitarisme et de ses consolations). Par ailleurs, en 1998, le centenaire de la naissance du dramaturge fut le prétexte à de nombreuses manifestations commémoratives. Il n’est pas inutile de s’attarder brièvement sur le sort, significatif, qui fut réservé à Brecht en Allemagne même. Non seulement, ses pièces occupèrent massivement les scènes allemandes (et cela n’est pas évident, alors que des années auparavant elles furent chahutées à l’Ouest, et que son éditeur, Suhrkamp, se voyait accusé de publier un communiste), mais les médias lui consacrèrent, en digne gloire nationale qu’il était subitement devenu, une place importante. Plus encore, la classe politique, du Président de la République à Berlin au Ministre-Président conservateur de la Bavière (Brecht était natif de Augsbourg), dans un ballet de discours consensuels étrangement en affinité, s’est unie pour encenser cette personnalité-symbole de l’Allemagne réunifiée. Brecht, encensé, semblait devenir un patrimoine à préserver / momifier, voire, en ces temps où le domaine artistique n’est plus une exception selon les lois intransigeantes du marché, un bien culturel à consommer, avec d’autant moins de modération que débarrassé de ses oripeaux gênants et dépourvu de toute charge explosive. De mauvais esprits pouvaient sans doute se demander ce qu’il restait de Brecht, ainsi muséifié (nous préférons cet adjectif à celui de classique), de ses visions théâtrale et politique, à l’issue de ces célébrations lénifiantes. Avaient-ils profondément tort ? Nous ne le pensons pas. Du moins, leurs réticences — l’ancien assistant de Brecht, Manfred Wekwerth, parle, par exemple, dans une interview accordée au quotidien Libération (19 février 1998) d’un véritable « enterrement d’État » — sont-elles à examiner scrupuleusement. Autrement dit, pour déjouer le piège tendu au pauvre b. b. pour l’anniversaire de sa naissance, il deviendrait urgent de saisir en quoi, rebelle et scandaleuse, l’œuvre de Brecht résiste toujours.

L’objectif de ce recueil est donc, selon des postures variées, n’hésitant pas, lorsque cela est indispensable, à reposer en des formulations nouvelles des problématiques déjà largement traitées (sur la jeunesse et la formation artistico-politique de Brecht, sur les arguments développés dans différents débats au sein desquels il fit entendre une voix discordante...), d’hériter productivement de l’agir et du penser brechtiens. À ce propos, il n’est pas sans importance de mentionner que, pour Bertolt Brecht, hériter exigeait d’assumer un choix privilégiant l’efficacité, donc un pillage intervenant / impertinent, permettant la projection des matériaux ainsi récoltés et re-dynamisés au cœur des possibles et impossibles du devenir forcément indéterminé. À nous, dès lors, non de préserver une image immobile et de l’idolâtrer, mais de nous laisser contaminer par le souffle brechtien et de ranimer la puissance déconstructrice / reconstructrice d’une œuvre à bien des égards contemporaine.

en traduction Brecht est mon copain.

11 août 2005

regarder comlme ils sont mignon c'est petit bonhomme

moi_6ça c'est moi et mon frere j'avais 2 et demi et mon frere trois  souvenez vous c'est l'informaticien  complétement chtardé moi_41ça c'est moi toute petite au que j'étais mignonne j'ai changé depuis.non?! vous ne trouvez pas?moi_5c'est encore moi habillé comme un sac j'avoue ça n'a pas changé. lol.moi_7ç_a c'est moi et mon fileul anthony il est beau non. j'ai un frere tres prolifique. il a bien retenu c'est court de S.V.T sur  la reproduction. ça doit etre le seul court qu'il a retenu. lolmoi_8justement en parlant de ce frere c'est celui du milieu. et oui je vous apprend que nous avons un vrai boudha en france je vous le présente c'est celui du milieu. lol ou l'incarnation de monsieur propre puisqu'il est chauve. lol

11 août 2005

quelques photos

moi_auj_11moi_2moi_3

coucou comme vous pouvez voir c'est moi, ce sont les délires de ma mère de me prendre en photo tout le temps des fois on ne s'y attends pas les pires c'est celle de mon frere mais j'en ai pas pour l'instant donc je vous les montrerai plus tard

11 août 2005

parlons un peu de théâtre

comment commencer, et par quoi?

tout d'abord le théâtre fait partie intégrante de ma vie. si je ne vie pas pour lui, c'est presque ça. Vous direz peut être c'est grave de considérer le théâtre de cette façon. mais dans ma vie c'est lui qui a partagé le plus avec il a marqué chaque période ou heureuse de ma vie depuis presque 10 ans.

En 2003, j'ai écrit ma propre pièce que j'ai joué le 3 juillet 2003. Cette pièce j'ai commencé à vous en parler avec l'article sur le viol. Étant donné que c'est son thème.

J'ai une petite anecdote sur cette pièce. quand j'ai eu ma conférence de presse les journalistes était plutôt dur avec moi. Et après que je leur ai présenté donc quand je l' ai joué on s'est tous retrouvé au café du coin pour fêter ça. Et là les journalistes m'ont avoué qu' ils étaient venu pour me descendre il ne pensais qu' une gamine de 16 ans à l'époque puisse réellement faire ressortir le viol aussi bien. Et traité ce sujet de façon accessible a tous types de personnes des plus jeunes au plus vieux des plus renfermer au plus ouvert, etc. Ils m'ont dit : " on était venu pour se foutre de toi, mais on est super surpris châpeau." c'était génial très belle récompense.

Lors de ma représentation, il y avait une association national qui se nomme "l'enfant bleu". Cette assos défend le droit des enfants. Une assos de coeur qui protège les enfants batus et violés. Elle suit les enfants dans les poursuites judiciaires face à leur tortionnaire.

voilà j'arrête la pour cette article

10 août 2005

de l'avance

sayez mon blog prend réellement forme sayez enfin. genial je suis contente et j'espere qu'il va vous plaire

10 août 2005

quelques videos du baptême de mon petit tristan

10 août 2005

quelque petites présentations

je vais vous présenter cousin machin vous savez dans la famille adams.!!!!

photo_0071photo_0081

non en fait c'est alex et elle boit un café viennois, c'est notre pêché (lol) mignon a toutes les deux

ne faites pas attention  pour les accens et les fautes je fait jamais attention quand je tape

10 août 2005

moi et ma mère la plus chiante du monde

maman_et_tmoi_009

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bon ben ca c'est ma mer et moi elle est tres tres chiante dirais- je , elle a le don de vous mettre en colère c'est dingue. Elle est super chiante je sais que je me répéte mais la pffffffff c'est inimaginable.

on ne peux pas avoir de vie privée, on est tous indépendant plus auun de ses enfants ne vivent avec elle mais elle essaie toujours de nous donner des ordres même quand elle est dans notre propre apart c'est dingue non?!

mais bon à coté de ça elle a plein de qualité! je cherche pour vous dire lesquels. je trouve pas mince. non je plaisante elle est gentille quend elle veut

8 août 2005

bon je vais reprendre l'article sur le viol

la je vais vous tapé l'article de spycho:

Femmes violées

Comment vivre après et aimer à nouveau?

" on la ferre, on la saute. " Le vocabulaire traduit souven le vocabulaire qu'ont les hommes de la femme comme " objet sexuel passif" . De l'insulte au viol, la violence qu'elles subissent revêt souvent un caractère sexuel. Paradoxe en matière de viol, c'est souvent  la victime qui se sent coupable. Revenir de ce voyage en pays infâme, c'est réapprendre à aimer. Mais cela est- il toujours possible?

Essence de la culpabilité

" pourquoi j'ai permis ça..." Après un traumatisme et quel que soit ce dernier : viol, attentat, accident, le discours est toujours le même. La victime du viol s' attribuera automatiquement le responsabilité  de son agression : " la culpabilité post agression est une conséquence logique de notre éducation qui repose sur certain archaïsmes " En effet l'infamie sexuelle ets vécue comme une forme de punition. Nous assimilons cette dernière à un châtiment pour faute commise comme  l' enfance nous l'a appris quand nous étions envoyés pour avoir triché ou menti. Le travail du victimologue consistera  aussi a briser ce reflexe intellectuel d'assimilation entre la punition et culpabilité.

De l'importance de se déclarer victime

Aguicheuse. Il y a encore peu de temps , une femme violée était véritablement considérée comme responsable de son malheur. Quand elle arrivait au commissariat, elle pouvait être stigmatisée voire raillée par son interlocuteur. Manque de connaissance du phénomène, omerta concerant les violences commises sur les femmes ou tout simplement tabou social,les choses ont désormais évolué : " Aujourd'hui, il ne faut pas attendre pour porter plainte au commissariat, les autorités sont compétentes. Il faut réduire au maximum le temps entre le viol et la plainte. Se déclarer officiellement victime est la première étape sur laroute de la déculpabilisation.

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